J’ai pas mal ralenti mon rythme de lecture ces derniers mois… et je suis en retard dans mes compte-rendus, le dernier remontant à début mars.
La raison, vous la connaissez : en mars-avril-mai, j’ai lu pas mal d’ouvrages pour mon mémoire et quasiment pas de lectures « personnelles ». Je ne vais pas développer le sujet dans cet article, car je doute que ça intéresse grand-monde, mais pour vous donner une idée des bouquins qui m’ont vraiment occupée à cette période, ces trois-là ont été les piliers sur lesquels j’ai bâti une bonne partie de ma réflexion pour mon mémoire : La Chambre claire de Roland Barthes, Sur la photographie de Susan Sontag et Que veulent les images ? de Wiliam J.T. Mitchell.
(promis, un jour j’arrêterai de parler de mon mémoire)
Cette petite parenthèse universitaire refermée, place aux livres dont je vais vous parler aujourd’hui : pas de grosse déception, pas d’immense coup de cœur non plus, juste des lectures agréables et faciles, parfaites pour l’été.
Certaines remontent donc au mois de mars, d’autres sont beaucoup plus récentes, et datent de juin-juillet. Ah, et j’ai fini récemment Le Chuchoteur, dont je vous parlerai la prochaine fois.
L’appel du coucou – Robert Galbraith (JK Rowling) // Disponible ici (en VO ici)
Une nuit d’hiver, à Londres, le célèbre mannequin Lula Landry est trouvée morte, défenestrée. Suicide. Affaire classée. Mais John, le frère de la victime, est convaincu qu’il s’agit d’un meurtre et frappe à la porte du détective privé Cormoran Strike. Vétéran revenu mutilé d’Afghanistan, sa carrière de détective est au point mort et sa vie privée un naufrage. Chargé d’enquêter sur la mort de Lula, Strike aura bien besoin de l’aide de Robin, sa secrétaire intérimaire…
Ce roman m’a laissée un peu perplexe, je l’avoue. Pourtant il est loin d’être mauvais…
Les personnages, notamment sont plutôt réussis : de Cormoran Strike, colosse blessé et déprimé, à la mystérieuse Lula, en passant par tous le microcosme d’amis, admirateurs et parasites qui gravitent autour d’elle, tous sont crédibles et intéressants. Quant au personnage de Robin, la fameuse assistante de Strike, je l’ai trouvée vraiment chouette : maligne, efficace et attachante (mais honteusement sous-exploitée par JK Rowling alors que c’était un personnage très prometteur).
Le suspense est bien présent, l’intrigue bien menée et tout à fait conforme à ce que l’on peut attendre d’un roman policier.
D’où vient mon impression un peu mitigée alors? Tout simplement de l’identité de l’auteur, dont je n’ai pas réussi à faire abstraction… En effet, tout au long de ma lecture, je me suis demandé « Mais où est JK Rowling là-dedans ? » C’est sans doute injuste mais il est impossible de lire ce livre sans attentes particulières; en cela, ce roman policier s’avère décevant, car, même s’il est plutôt réussi, il reste somme toute assez banal, pour ne pas dire… interchangeable. En effet, je pense qu’il aurait pu être écrit par n’importe quel auteur de romans policiers un peu talentueux.
Rendons néanmoins justice à Mme Rowling : pour éviter les attentes démesurées et les comparaisons, elle a justement publié L’appel du coucou sous le pseudo de Robert Galbraith, avant que son identité ne soit révélée.
Autant Une Place à Prendre m’avait fait une très forte impression (malgré un démarrage un peu laborieux), autant L’Appel du Coucou ne m’aura pas laissé un souvenir impérissable, même si je l’ai lu sans aucun déplaisir.
A lire si vous aimez les romans policiers, les ambiances londoniennes et si vous vous fichez de savoir qui est Robert Galbraith.
Chroniques de la débrouille – Titiou Lecoq // Disponible ici
Comment survivre à une rupture amoureuse ? Comment s’insérer dans une société qui, clairement, n’attend pas les bras ouverts un bac + 5 de sémiologie ?… En adoptant une technique de survie simple : la débrouille. Dans ce journal de bord se dessine la vie d’une trentenaire d’aujourd’hui, incapable de survivre sans internet, qui passe sa vie entre les boulots, les cartons, les amis et les histoires ratées et doit faire face aux nouveaux rapports hommes-femmes…
Ah, Titiou Lecoq… Je l’adore ! Fan inconditionnelle de son Encyclopédie de la webculture, j’ai également adoré son premier roman Les Morues (je vous en parlais ici). Certes, ces Chroniques de la débrouille (initialement publiées sous le titre « Sans télé, on ressent davantage le froid ») ne sont finalement qu’un recyclage de ses billets de blog, mais quel plaisir de retrouver sa verve et son humour, toujours mêlées de réflexions ô combien pertinentes (et parfois un peu trash) sur des sujets aussi variés que (au pif) son voisin, le sexe ou la Sécurité Sociale.
Ces petites pastilles et morceaux de vie se dévorent d’une traite, et c’est le sourire aux lèvres qu’on suit ses mésaventures de trentenaire parisienne, entre galères et plans lose.
Même si j’ai tendance à me méfier des romans « générationnels », j’ai plongé tête la première dans celui-ci et je n’ai pas regretté. J’ai hâte que le dernier livre de Titiou Lecoq « La Théorie de la tartine » sorte en livre de poche. Vite, viite!
A lire si vous faites partie de la Génération Y et aimez les romans drôles, intelligents et pas nunuches.
Le Code Rebecca – Ken Follett // Disponible ici (en VO ici)
En 1942, l’Égypte est menacée par les Nazis qui disposent au Caire d’une « taupe » chargée de les renseigner sur les défenses britanniques. Cet espion allemand, Alex Wolff, caché chez une danseuse égyptienne, adresse quotidiennement des messages codés aux Allemands. Un major du contre-espionnage britannique, décidé à le neutraliser définitivement, se lance à sa recherche en compagnie d’une jeune juive égyptienne...
Un petit Ken Follett, comme (quasiment) à chaque fois, c’est presque une tradition !
Je n’avais pas encore lu celui-ci car il fait parti des romans estampillés « espionnage » de sir Follett, genre qui m’attire assez peu (en tout cas nettement moins que ses thrillers et sagas historiques). Heureusement, mêlée à une bonne dose d’exotisme égyptien, d’intrigues politico-historiques et de suspense, la pilule de l’espionnage passe finalement assez facilement.
Les personnages sont un peu cliché et nettement moins inoubliables que ceux des Piliers de la Terre, par exemple, mais on s’attache néanmoins à eux et on suit leurs aventures avec plaisir.
A lire si comme moi vous avez déjà dévoré lu plupart des livres de Ken Follett mais qu’il vous faut votre dose, ou que vous cherchez une lecture plutôt divertissante et sans prise de tête, parfaite pour l’été.
Puzzle – Franck Thilliez // Disponible ici
Ilan et Chloé, deux jeunes gens spécialistes des chasses au trésor ont rêvé des années durant de participer au jeu ultime, dont on ne sait même pas s’il existe réellement : Paranoïa. Lorsqu’un an après leur rupture Chloé réapparaît et annonce à Ilan qu’elle sait comment rejoindre le jeu, ce dernier commence par refuser avant de changer d’avis quand Chloé lui annonce que le gagnant remporterait 300 000 euros…
Puzzle, c’est à la fois un jeu dangereux, un huis-clos dans un hôpital, un héros un peu paumé… J’ai pensé à de nombreuses reprises aux films The Game ou encore Shutter Island, avec lesquels les similarités sont nombreuses. Les événements décrits sont-ils réels ? Font-ils partie du jeu ? Ou bien sont-ils uniquement le fruit de l’imagination du héros ? On n’est jamais sûr de rien tant la Paranoïa (qui est d’ailleurs le nom du jeu) est présente tout au long de l’intrigue.
La partie que j’ai préférée est celle qui se passe dans un hôpital désaffecté, quand le jeu commence vraiment. Evidemment, rien ne se passe comme prévu et les joueurs disparaissent les uns après les autres, un peu à la façon du roman d’Agatha Christie Dix petits nègres…
Néanmoins, Puzzle souffre de ce que j’appellerais « le syndrôme Grangé » : l’intrigue est complètement tirée par les cheveux, pas crédible une seule seconde, MAIS très bien ficelée et donc très prenante (comme les derniers livres de Jean-Christophe Grangé, donc;, j’en parlais ici ou encore là). Je l’ai dévoré, tout en sachant pertinemment qu’un final complètement What The Fuck m’attendait à la fin du livre… et de ce coté-là, je n’ai pas été déçue (bien que j’ai deviné une bonne partie des éléments importants de l’intrigue).
A lire si vous avez envie d’un bon thriller à l’intrigue diabolique, mais n’êtes pas trop regardant sur la crédibilité de l’histoire…
Le rire du cyclope – Bernard Werber // Disponible ici
Darius, humoriste célèbre et coqueluche du tout Paris, s’effondre dans sa loge à l’issue d’une représentation à L’Olympia. Quelques minutes avant sa mort, on l’a pourtant entendu éclater de rire…Journaliste au Guetteur moderne, Lucrèce Nemrod est sûre qu’il ne s’agit pas d’une mort naturelle. Son complice, Isidore Katzenberg, qui vit dans un château d’eau, est persuadé qu’il faut remonter aux origines du rire pour mener à bien cette enquête…
Bernard Werber, un de mes écrivains chéris d’adolescence (avec Amélie Nothomb et Stephen King, entre autres)… Cela faisait quasiment une dizaine d’années que je n’avais plus rien lu de lui : bien qu’ayant adoré Les Fourmis, L’Empire des Anges ou encore Le Père de nos pères, il m’avait définitivement perdue avec son Cycle des Dieux, qui m’a profondément ennuyée et que j’ai arrêté au 2nd tome.
Mais ça, c’était avant de tomber sur Le Rire du Cyclope par hasard dans les rayons de la Fnac : je ne sais comment, j’étais complètement passée à côté de cette nouvelle aventure d’Isidore et Lucrèce, mes personnages préférés de Werber (le petit côté Lisbeth Salander de Lucrèce n’y est certainement pas pour rien, j’avoue). Et dire qu’il date de 2010 !
J’ai donc lu très rapidement ce gros bouquin (760 pages).
Comme toujours avec Isidore et Lucrèce, l’intrigue démarre par un meurtre, sur lequel enquête Lucrèce, journaliste motarde casse-cou, rousse et sexy, épaulée par l’inénarrable Isidore, ours bourru qui observe le monde de façon purement scientifique. Leur enquête les mène, comme à chaque fois, sur la piste d’un des plus grands secrets de l’humanité; cette fois-ci, il s’agit, vous l’aurez compris, du rire et de l’humour : d’où viennent-il, à quoi servent-ils ? Qui invente les blagues ?…
Comme à son habitude, Werber alterne le récit avec des explications plus ou moins scientifiques et historiques. Nous avons donc droit à l’histoire de l’humour, ainsi qu’à une sélection considérable de blagues diverses et variées.
Sous ses dehors un peu légers et farfelus, ce roman s’avère plus profond que prévu et nous pousse à réfléchir sur la place et la finalité de l’humour… le tout accompagné de multiples rebondissements très réussis!
A lire si vous aimez les duos décalés, les intrigues rocambolesques (dans le bon sens du terme), les sujets farfelus, ou plus simplement les livres de Bernard Werber : celui-ci est un très bon cru.
Carnets de thèse – Tiphaine Rivière // Disponible ici
Quand Jeanne Dargan, une jeune enseignante, quitte son collège de ZEP pour se lancer, euphorique, dans une thèse, elle n’imagine pas le chemin de croix qui l’attend… A la manière d’un récit d’apprentissage, avec drôlerie et finesse, ce roman graphique raconte le quotidien de doctorants qu’on compte aujourd’hui en France par dizaines de milliers et qui, comme Jeanne, poursuivent leur recherche comme une quête existentielle.
Très bonne surprise que ce premier roman graphique d’une ex-thésarde. J’avoue, je ne connaissais absolument pas le blog de Tiphaine Rivière et le sujet ne m’aurait probablement pas interpellée si je n’avais pas eu à rédiger un mémoire cette année.
Alors OK, une thèse c’est un mémoire puissance 10, mais il y a suffisamment de points communs pour que je me reconnaisse (ou reconnaisse certains de mes camarades) dans les mésaventures de l’héroïne et rie de bon cœur à plusieurs reprises : la procrastination, les changements de sujet de dernière minute, les relations parfois compliquées avec le directeur de recherche, l’angoisse de la page blanche, l’obsession pour un sujet parfois très opaque, l’entourage qui ne comprend pas vraiment ce qu’on fait, le conjoint qui subit… Je l’ai vécu pendant quelques mois seulement, j’imagine donc le calvaire que ce doit être à vivre sur plusieurs années.
Tiphaine Rivière (à travers son alter ego Jeanne Dargan) nous le montre d’ailleurs très bien, notamment à travers un sens de la métaphore visuelle vraiment réjouissant. On rit beaucoup, mais une partie de nous-même ne peut s’empêcher d’être effarée : entre l’intégrale de Schopenhauer à lire, l’incapacité de Jeanne à commencer la rédaction de la thèse, le boulot alimentaire auprès d’une collègue acariâtre, les cours donnés à la fac (dans une matière qu’elle ne maîtrise pas) et qui au bout du compte ne lui seront même pas payés… une seule question se pose : une thèse, mais pourquoi s’infliger ça ??
Tiphaine Rivière, pour sa part, a préféré jeter l’éponge et s’est reconvertie, pour notre plus grand plaisir, dans la BD; j’attends ses prochains romans graphiques avec impatience !
A lire si vous cherchez un roman graphique drôle, intéressant, pertinent et bien mené : ne cherchez plus ! Si en plus vous êtes thésard, voici votre nouveau livre de chevet.
Cent titres – Clémentine Mélois // Disponible ici
Voici une étonnante bibliothèque. Clémentine Mélois y pastiche par l’image les classiques de la littérature. Lirons-nous aujourd’hui Maudit Bic, d’Herman Melville, ou Père et Gay, de Léon Tolstoï ? Au fait, quel philosophe a-t-il écrit le Crépuscule des idoles des jeunes ?
Ces détournements de titres de romans très drôles regroupent anagrammes, contrepèteries, homophonies, permutations et gags visuels. Pas besoin d’un long discours, allez donc jeter un œil ici, vous m’en direz des nouvelles !
A lire si vous êtes resté un grand enfant qui aime rire d’un bon jeu de mot ou d’un détournement d’oeuvre célèbre. Ou si vous cherchez une idée de cadeau rigolo qui marche à tous les coups pour un littéraire.
Cat VS Human – Yasmine Surovec // Disponible ici (ou en version française ici)
Je connaissais le blog de Yasmine Surovec Cat VS Human depuis longtemps; la BD issue du blog était donc depuis longtemps en bonne place sur ma wishlist de livres à acheter.
Présentées sous forme de petites illustrations d’une page ou de strips très courts (2 pages maximum), les mésaventures de Yasmine au pays des chats sont très très drôles. Tout y passe : les crazy cat ladies, l’éternelle compétition chien-chat, le décalage entre les « humains normaux » et les propriétaires de chat, les habitudes et lubies de nos petits félins au quotidien (tous les mêmes !)…
J’aime beaucoup le style de dessins, en apparence très simple mains néanmoins très expressif.
A lire si vous avez un chat. TMTC.
Le monde, les filles, la vie en 50 infographies – Merci Alfred // Disponible ici
Si vous connaissez déjà le site Merci Alfred vous savez à peu près à quoi vous attendre dans ce livre : des infographies, chiffres insolites et conseils décalés à propos des filles, du boulot, de la vie parisienne… C’est très bobo dans les thématiques, mais avec une bonne dose d’ironie et de second degré, du style « Comment monter son resto de hipster en 6 étapes » ou « La déco du bobo ». A lire en écoutant « Quinoa » du Palmashow.
A lire si vous êtes un bobo parisien trentenaire. Ou à offrir à votre pote bobo parisien pour son anniversaire.
Alors, tentés par ces livres ? En avez-vous lu certains ?
6 commentaires
Comme toi, Werber m’a perdue avec le Cycle des Dieux.
Je n’ai plus rien lu de lui depuis non plus. Par contre, je ne suis pas prête de retenter une aventure avec un de ses romans avant un bon moment (ya tellement d’autres auteurs à découvrir…).
Je n’ai lu qu’un seul des ouvrages que tu présentes : L’Appel du coucou de R. Galbraight et je l’avais beaucoup aimé. Il n’est pas extraordinaire mais il fait le job qu’on lui demande : nous offrir un roman policier bien ficelé avec une pointe d’humour noir. Je ne voue pas spécialement un culte à JK Rowing donc j’ai su me détacher assez facilement de son identité pour le lire. 😉
J’ai repéré Carnet de thèse depuis un bon moment et j’aimerais vraiment le lire (j’ai deux amies thésardes, ça doit jouer sur ma motivation à lire ce roman graphique).
J’aime beaucoup la façon dont tu présentes tes lectures : c’est frais, clair et complet sans en faire trop et ça donne une bonne idée de tes impressions.
Merci beaucoup pour ton commentaire super positif, ça fait plaisir!
Je comprends pour Werber, si je n’aimais pas autant le personnage de Lucrèce je n’aurais pas replongé… mais au final je ne regrette pas!
N’hésite pas pour Carnet de Thèse, tu verras c’est vraiment un super roman graphique! 🙂
je suis une grand lectrice des livres de Franck Thilliez.
comme toi, j’avais deviné un bout de l’intrigue, de la fin.
Je ne sais pas si tu en as lu d’autres de lui.
Je te conseille : La Chambre des Morts, Deuil de Miel, Fractures, Vertige, Syndrome E, Gataca, la forêt des ombres
Bonnes lectures…
J’aime bien Franck Thilliez aussi, même si dans le genre « thriller glauque made in France » mon chouchou de toujours reste Jean-Christophe Grangé (malgré les semi-déceptions de ces dernières années… JC, ressaisis-toi!).
Avant Puzzle, j’en avais lu 32 autres (et comme j’avais vu qu’on retrouvait souvent les mêmes personnages, j’ai été sérieuse et je les ai lus dans l’ordre) : Train d’enfer pour Ange Rouge, La Chambre des Morts et Deuils de Miel. Etant donné que je n’en parle pas sur le blog, j’en déduis que c’était avant septembre 2011… Il est temps que je m’y remette! Je vais essayer d’acheter La Foret des Ombres un de ces 4 🙂
Bonnes lectures à toi aussi!
Je t’avoue que je n’ai lu de ton article que la partie sur Puzzle, puisque c’est le seul dans cette sélection que j’ai lu. Je voulais surtout savoir si tu allais le rapprocher d’autres romans. Je comprends pourquoi tu fais référence à Shutter Island, par contre, je n’ai pas lu The Game donc je ne le saurais pas avant de l’avoir lu !
Par contre, j’ai lu récemment « Thérapies » de Sebastian Fitzek (qui est aussi un roman antérieur à Puzzle) et quand j’ai lu la fin… j’ai vraiment eu l’impression de relire Puzzle, que j’avais lu avant. Ce que je trouve foncièrement dommage puisque Thilliez est véritablement l’un de mes auteurs préférés.
Merci pour ton commentaire!
The Game n’est pas un roman mais un film de David Fincher (réalisateur de Seven), qui partage le même sujet que Puzzle : les jeux de rôle grandeur nature (qui tournent mal haha). Si tu as l’occase de le regarder un de ces 4 n’hésite pas, il est pas mal! 🙂
Je note « Thérapies » dans ma wishlist bouquins, mais du coup je ne sais pas si je le lirai, vu la redondance des intrigues avec Puzzle…