Samedi, je suis allée voir Drive…
Je sais, ce que je vais dire est incroyablement banal, bons nombres de blogueurs l’ont déjà dit: ici ou bien ici, par exemple.
Il n’empêche que je vais le dire quand même, en bonne midinette que je suis: Ryan Gosling, whaouuh!
D’ailleurs, vous m’excuserez….
Allô Ryan?…
Après Blue Valentine en juin, et Crazy Stupid Love il y a quelques semaines, où ses performances m’avaient à chaque fois bien remuée (mais pas pour les mêmes raisons ^^ ), j’étais donc fin prête à aller admirer de nouveau la bête dans Drive (qui a en plus obtenu le prix de la mise en scène à Cannes, ce qui ne gâche rien).
Eh bien j’en ai eu pour mon argent (si je puis dire, vu que j’ai une carte illimitée).
Moi qui ne suis pas très branchée voiture, et qui craignais vaguement une « Rapide et Furieuserie », j’ai découvert le « film d’action psychologico-romantique« .
J’ai adoré le personnage de Ryan, le « Driver », qui sous des dehors mono-expressifs et taiseux à la Daniel Craig, cache une nature sacrément ambigüe, aussi tendre et amoureux qu’il peut être dur et violent.
J’ai adoré la scène de l’ascenseur, où ces 2 aspects du personnage se télescopent en quelques secondes à peine.
J’ai adoré les scènes de poursuites en voiture, et j’ai adoré qu’il n’y en ai pas trop.
J’ai adoré la musique electro pop 80’s et la police d’écriture rose du générique, qui créent le décalage avec le côté testotéroné du film.
J’ai adoré Carey Mulligan, angélique et lumineuse.
J’ai adoré et détesté à la fois la fin qui se prête à plusieurs interprétations sur ce qu’il advient du Driver…
Comme à chaque fois avec Ryan Gosling, on est éblouis aussi bien par l’acteur que par le film dans lequel il joue.
C’est embêtant, je ne vais donc pas pouvoir échapper au prochain film de Georges Clooney…
On termine avec ces 2 vidéos inspirées par le (déjà) film culte :
tribute to drive from tom haugomat & bruno mangyoku on Vimeo.
CONDUIRE from LE MANOIR FILMS on Vimeo.